Le Girls Don't Cry Festival : offre étudiante !

Le Girls Don’t Cry Festival fait son grand retour cette année vendredi 5 et samedi 6 décembre 2025 à la Cabane de la cartoucherie et on a hâte de vous y retrouver !

Pendant trois jours, les corps s’inventent d’autres usages, d’autres rythmes, d’autres liens. Le son devient une arme, un manifeste, un cri de joie. Et ailleurs, ça clignote, ça murmure, ça surprend. Des gestes apparaissent, des matières s’animent, des voix s’élèvent. Il faudra tendre l’oreille, ouvrir les yeux, suivre les indices.

A cette occasion le CIAM UT2J et la Petite vous proposent un tarif préférentiel de 5€ par soirée.
Pour en bénéficier : 

VENDREDI – à la Cabane
Comme un rituel d’ouverture, le festival s’élance dans la nuit avec son désormais mythique cabaret drag : des corps en feu, des performances en velours, des rires en cascade et des regards complices.
Puis la piste s’enflamme avec Turkana, productrice et DJ membre du collectif Nyege Nyege, dont les sets percussifs et profonds croisent techno et récits d’exil, dans une approche radicalement politique du dancefloor.
Salomé viendra électriser la Cabane avec un live hard pop intense et irrévérencieux, où les glitchs sont autant d’actes de résistance joyeuse.

Et pour finir en transe, Crustasex envoie valser les cases et les attentes : un set queer et abrasif, entre hard techno, fétichisme sonore et érotisme politique. Lâchez tout.

SAMEDI – à la Cabane
La journée commence dans l’étrangeté rêveuse de le talu, avec une performance queer hybride mêlant pop expérimentale, voix autotunée et textes jouissifs. Une traversée fragile et musclée, où les corps se délient et se redéfinissent.
Puis vient la collision entre Abstraxion, Schön Paul & Perlla en live hybride. Une création volcanique entre house trancy, ghetto-tech et latincore, portée par la présence incandescente de Perlla, chanteuse et performeuse brésilienne. Ce trio marseillais livre un show aussi festif que décomplexé, ancré dans la scène électronique radicale et inclusive.

Malaise Vagal prend le relais avec une sélection trouble et cathartique : club déconstruit, rythmiques obliques et sensualité en vrille.
Leur succède Pony Sirena Tropical qui déboule avec un set volcanique, naviguant entre dancehall mutant, reggaeton underground et sons déviants venus du sud.